Hacking de carte NVIDIA : les limitations entre les séries sont virtuelles

Gnif, membre d’un forum anglophone spécialisé dans l’électronique a remarqué que la différence entre une GTX690 (carte graphique pour joueur) et une Quadro K5000 (carte graphique pour les professionnels) est bien faible.
En effet, Gnif a remarqué que seules trois résistances changeaient entre les deux cartes. Ainsi, en modifiant les résistances, le pilote reconnait l’une ou l’autre carte.

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Vous pourriez me dire : « Oui, et alors » ?

En fait, sous Linux, seules les cartes Quadro peuvent gérer le mode Mosaic. Grâce à cette modification de la carte, le pilote reconnait la carte comme une Quadro, qui elle peut officiellement gérer ce mode d’affichage. Bien entendu, ce hack ne permet pas d’accélérer la carte graphique, mais simplement de débloquer des fonctionnalités normalement non accessibles.
Plus précisément, les résistances permettent de modifier l’ID de la carte qu’utilise les pilotes graphiques.

Pour finir, il est important de rappeler que la carte K5000 est une carte vendue 1000 € de plus que sa jumelle GTX690, tout en sachant que le processeur est environ 25 %-30 % plus lent et simple cœur.

Votre opinion

null La différence de 1000 € entre les deux cartes peut-elle être justifiée par la différence du processeur ?

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Une réflexion au sujet de « Hacking de carte NVIDIA : les limitations entre les séries sont virtuelles »

  1. ainsi, ça confirme bien le fait que nVidia bride ses cartes graphiques jeu pour n’en faire que des cartes graphiques de jeu, surtout pour les calculs à virgules flottantes en double precision. j’ai hate de voir le suite

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