Si on devait trouver l’équivalent de nos chères commandes habituelles d’ouverture/sauvegarde/fermeture.
Voici la liste des commandes :

Nouveau : :e nouveau_fichier.txt
Ouvrir : :e fichier_existant.txt
Enregistrer : :w
Enregistrer sous (enregistre sous un nouveau nom et l’édite) : :saveas nouveau_fichier.txt
Renommer : :file nouveau_nom_fichier.txt
Fermer : :bdelete
Recharger depuis le disque : :e!

Comme nous avons pu le voir dans l’article sur le mode visuel, il est possible de copier/couper du texte de la même manière que si nous le faisions à la souris sous Notepad++.

Ceci n’utilise cependant qu’un seul tampon mémoire, ce qui signifie que lorsque vous devez copier plusieurs parties distinctes d’un fichier, vous devez faire les commandes de copier-coller l’une après l’autre.
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Sous Notepad++, il est possible de positionner des marques à différents endroits du fichier (puces bleues situées en bordure gauche) afin de naviguer plus facilement dans le fichier.
De la même manière, il existe des marques sous vim. Elles sont mémorisées par une lettre.
En voici la syntaxe :
mx positionne la marque x sur le position courante du curseur
'x déplace le curseur à la marque x
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Nous voici donc avec un vim fraichement installé avec aide francisée.
Lançons vim en ligne de commande puis tapons :help (ou la touche <F1> ).

Pour naviguer sur l’écran d’aide, il est possible de déplacer le curseur avec les flèches directionnelles classiques mais sachez qu’il est aussi possible d’utiliser les h, j, k et l pour aller respectivement à gauche, en bas, en haut et à droite.
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Vim permet bien évidemment d’ouvrir plusieurs fichiers simultanément. Il est pour cela nécessaire de connaître les commandes élementaires permettant de manipuler les buffers.
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L’objectif de ce blog est de montrer les capacités de vim en le comparant à un éditeur de texte pur. J’ai pris l’éditeur Notepad++ pour effectuer cette comparaison.
Ceci permettra de vérifier que vim sait en faire autant, peut-être même davantage…

Nous travaillerons sur une Debian lenny pour l’utilisation de vim en mode console.
Tout d’abord examinons les paquets installés pour vim :

Nous utilisons une version allégée de vim.
De plus, il manque la documentation indispensable pour commencer à s’intéresser au sujet.
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Il existe un mode remplacement dans vim, comme dans la plupart des éditeurs de texte.
A ceci près qu’il est un peu plus élaboré.
Pour passer dans le mode remplacement, il suffit de taper R (majuscule) lorsqu’on est en mode commande. Pour sortir de ce mode, taper <Echap>.

Ce mode est complémentaire au mode Insertion et il est de possible de passer de l’un à l’autre via la touche <Inser>.

Lors du mode remplacement, la touche <Backspace> permet d’annuler les remplacements précédemment effectués.
Ceci signifie que les caractères remplacés réapparaissent tout simplement, à la manière de la commande u.

Voici une partie intéressante qui simplifiera grandement la modification de texte.
Comme décrit dans l’article précédent, il est nécessaire de se placer en début de mot pour copier un mot entier par exemple.

Grâce aux objets textuels, il suffit de taper la commande yaw que l’on peut traduire par « Yank A Word ».

Autre exemple, pour manipuler une phrase (suite de mots terminée par un point), l’objet as « A Sentence » vous simplifiera la vie.
Une alternative est l’objet is pour « Inner Sentence » qui n’inclut pas l’espace final.

Pour plus d’info sur les objets textuels existant sur Vim, il suffit de consulter la rubrique « Commandes de déplacement », §6 « Sélection par objets textuels » de l’aide.

Enfin nous y venons, le fameux copier-coller. Cette technique ne date pas d’hier puisqu’elle a été inventée dans les années 70 par la compagnie Xerox. Vous savez, l’entreprise qui est à l’origine des interfaces graphiques utilisateur (icônes, menus, etc.).
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