mai
2008
« Les tests c’est comme les assurances : ca coûte {?cher?}, mais dans une situation d’incident, ça rapporte ».
Ainsi écrire des tests coute du temps (20%, c’est un chiffre très indicatif ^^), et on se demande à quoi sert ce temps … perdu?.
Pour l’assurance (dans leur globalité), la payer tous les mois (ans) nous fait grimacer, et on se demande -sur le coup- a quoi sert cet argent … perdu?.
Le jour où arrive le bug, ou « le changement » (spécification, contrainte, plateforme …), les regards portés sur les tests changent alors radicalement de sens : ils deviennent très utiles, et rapportent gros, car cette fois : ils font gagner du temps (donc de l’argent).
Le parallèle avec l’assurance est identique, je ne le décris pas hein
Mais dans ce rapprochement (assez étrange pris intrinsèquement) tests/assurances, les tests gagnent : A la différence de l’assurance, quand l’incident intervient, les tests coutent alors ensuite moins chers : on en écrit plus, et plus ils sont nombreux (et intelligents), plus ils sont efficaces.
L’assurance, elle, impose souvent un malus, et coutera alors plus cher pendant une période (en plus c’est empirique).
Ah oui j’oubliais : dans le développement les bugs et les « incidents » sont beaucoup plus fréquents que l’incident dans la vie (enfin chez moi c’est comme ca en tout cas :-p)
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