novembre
2011
Le vol fut plutôt rapide et agréable, en partie a cause des équipements à bord d’Air New Zealand qui sont assez récents même en classe économique avec un bon choix de films et de séries (kiwis ou british pour les séries). J’ai cependant peu dormi, ce qui commence à se faire sentir alors qu’il n’est même pas encore 18h ici.
Même s’il dépasse largement la taille de celui d’Auckland que j’ai écumé durant mes vacances, le centre-ville fait beaucoup moins grand en vrai que sur Google Maps. On sait tout de suite qu’on est à San Francisco puisque la fin d’une ligne de Cable Car se trouve juste en face de la sortie de la station Powell (avec de nombreux touristes agglutinés autour). Il y a aussi quelques drapeaux arc-en-ciel ici et là même si on est assez loin du quartier gay.
Le Larkspur Hotel est en fait à même pas 10 minutes à pied depuis la station Powell dans la dernière rue avant que la colline ne passe en pente raide (ouf). Vu l’âge du bâtiment, il ne faut pas s’attendre à des chambres immenses ni du dernier cri et vu sa position ce n’est pas non plus pour la vue que je l’ai choisi (en fait là, j’ai vue sur l’espace d’entre l’hôtel et l’immeuble d’à coté). Mais parmi les nombreux hôtels suggérés par Oracle, il restait dans la fourchette moyenne tout en proposant le Wi-Fi gratuitement et en étant à quelques minutes à peine des lieux de conférence. J’ai eut quelques problèmes avec le Wi-Fi cependant ce qui m’a obligé à appeler le support technique de leur prestataire de service mais là c’est bon tout fonctionne. En arrivant, la réception de l’hôtel m’a donné un livret d’Oracle contenant les tables horaires des différentes navettes (pour ceux étant logés hors du centre-ville).
Dans l’après-midi j’ai fait le tour du centre-ville pour localiser les hôtels où se déroule la conf et me suis rendu compte que la ville était déjà décorée aux couleurs d’Oracle pour OpenWorld (rouge et blanc donc) et que des ouvriers étaient en train de poser les décorations de la JavaOne (orange et bleu). Ils étaient également en train de monter la rue piétonne ou vont se trouver les cafés durant toute la semaine.
De plus, le nombre de personnes portant des badges autour du cou augmente sensiblement au fur et à mesure qu’on se rapproche du Moscone Center West. Ça m’a conforte sur le fait que je me dirigeais dans la bonne direction ^^.
Dans le Moscone Center même, près de son entrée, trône le catamaran Oracle Racing et tout est fait pour rappeler que c’est San Francisco qui hébergera l’édition 2013 (avec des avant-évents dès 2012) de l’America’s Cup. On doit s’enregistrer soi-même et la personne derrière le comptoir nous fourni notre badge une fois son impression terminée ainsi que que divers documents* dont les plans des lieux de conf (les mêmes que ceux publiés plus tôt dans la semaine sur le blog/FaceBook de la JavaOne) et la liste des sessions. Il faut ensuite monter tout au 3eme étage et faire la queue pour ensuite se faire scanner le badge et obtenir le paquetage auquel on a droit.
Dans mon cas le paquetage consiste en :
- Un sac sponsorisé par IBM, Intel et Juniper Networks.
- Une pochette pour PC portable sponsorisée par Oracle.
- Une bouteille/gourde en verre (assez lourde) sponsorisée par IBM.
- Un t-shirt JavaOne.
- Un stylo JavaOne.
- Un calepin/agenda/calendrier à spirales avec Duke dessus.
Quelques photos :
Un panorama de l’extérieur du Moscone Center West (requiert Silverlight).
*Ce document révèle les dates suivantes pour les prochaines événements JavaOne :
- JavaOne Latin America : 6-8 décembre 2011
- JavaOne Tokyo : 4 – 6 avril 2012
- JavaOne San Francisco : 30 septembre – 4 octobre 2012
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[…] Une ville aux couleurs d’Oracle et de Java par bouye (02/10/2011 04:41) Le vol fut plutôt rapide et agréable, en partie a cause des équipements à bord d’Air New Zealand qui sont assez récents même en classe économique avec un bon choix de films et de séries (kiwis ou british pour les séries). J’ai cependant peu dormi, ce qui commence à se faire sentir alors qu’il n’est même pas encore 18h ici. Même s’il dépasse largement la taille de celui d’Auckland que j’ai écumé durant mes vacances, […] […]