septembre
2012
Enfin arrivé !
Après avoir affronté, à la descente du vol en provenance de Mérignac, les méandres, le manque d’indication et les couloirs étroits et tortueux du terminal 2F à CDG (pour essayer de trouver la navette pour me rendre au 2E) et 11 heures de vol assez pénible sur la compagnie nationale (vraiment pas fan des B-777), j’ai enfin mis le pied à SFO ! Durant le trajet, j’ai fait connaissance avec un autre programmeur français, utilisateur d’Oracle ADF, qui lui se rend à l’OracleWorld.
Alors que notre vol s’était posé vers 16h15, je ne sais pas comment je m’y suis pris, mais, le manque de poste de police aux frontière aidant, je me suis retrouvé à être dans les derniers à récupérer ma valise et à passer la douane vers 17h30. J’ai eut vite fait de rejoindre la gare de BART où j’ai pris un ticket aller-retour pour Powell Station ($16.50), puisque je n’avais pas pu acheter un billet réduit via le site de la conf. Bien qu’il fasse au alentours de 19°C, aujourd’hui le temps est assez bizarre : un mélange de grand ciel bleu sans nuage et de brouillard dense près du sol. Apparemment, c’est normal pour cette ville.
Aux alentours de 18h00, j’émerge près de l’Apple Store sur Ellis Street, et de là je rejoins Powell Street que j’ai lentement remonté en traînant mon lourd bagage (trop de shopping lors de mes vacances en métropole). Cette année, Oracle a installé des tentes sur Union Square, j’irai voir d’un peu plus près ce qu’il en retourne demain car on ne pouvait pas s’en approcher.
Une fois les clés de ma chambre d’hôtel récupérées, mes bagages posés et après avoir vérifié que le WiFi fonctionnait, je suis vite descendu vers le Moscone Center. Il est possible de s’enregistrer au conférence directement depuis certains hôtels mais c’est le Moscone Center West qui ferme le plus tard. Le sud de la ville est décoré de rouge, la couleur d’Oracle qui s’étale en grand sur le fronton des Moscone Center West et North.
Étant donné que c’est ma seconde JavaOne, cette année, je passe de l’état de newbie à celui d’Alumni. Le badge me sera utile pour accéder aux salles des différentes sessions (on se fait scanner à chaque entrée pour vérifier si on a bien le droit d’y assister). Au dos du badge, dans la pochette plastique, on retrouve à nouveau le carnet de ticket pour les repas à midi durant les 4 jours et également pour l’accès au Street Café, dimanche soir après les KeyNotes d’ouverture. La liste des sponsors est affichée au dos : désormais c’est confirmé, seul IBM est diamond sponsor cette année (l’an dernier Intel et Juniper Networks l’étaient également). Intel sponsorise toutefois l’Oracle Appreciation Nigth de mercredi soir.
Je n’en ai cependant pas terminé avec le Moscone Center car Il me faudra repasser demain matin pour récupérer le reste de mon paquetage ; vu l’heure tardive (plus de 19h00) les divers bureaux sont tous en train de fermer.
En sortant, j’en profite pour passer dans les jardins du Yerba Buena (« bonne herbe » en espagnol, en référence à de la menthe, c’était là le nom d’origine de San Francisco) dans lequel se trouve désormais un pavillon dédié à la future America’s Cup. Là aussi, étant donné l’heure tardive, tout est fermé et il y a des vigiles partout, il me faudra repasser demain pour trouver du merchandising pour un pote. Sur le chemin du retour, je passe près de la plaque tournante de Powell Street (terminal du cable-car qui est constituée d’une table tournante en bois qui permet de changer le cable-car de voie pour qu’il puisse repartir dans l’autre sens) sur lequel flotte les bannières de l’America’s Cup.
Pour finir, je remonte vers les 3 hôtels qui serviront à la JavaOne : le Hilton, le Nikko et le Parc 55 Wyndham. Tout comme l’an dernier, les frontons sont décorés ici aux couleurs de Java : le bleu pervenche comme du temps de Sun. Cette année le orange semble être aux abonnés absents sauf sur les toiles des tentes du Street Café qui s’est déplacé de Mason Street (entre le Hilton et le Nikko) vers Taylor Street (juste après le Hilton, à coté d’un bloc assez glauque aux abords duquel traînent plein de mendiants et de sans-abris). Des taxis et des bus passent ici et là arborant les couleurs alternativement d’une des deux conférences.
Vu qu’il commence à faire froid, que mon chocolat chaud pris dans un Starbucks ne fait plus effet et que je commence à souffrir du décalage horaire d’avec la métropole, je décide alors de rentrer à l’hôtel pour taper cet article avant d’aller me coucher. Il est plus que temps de prendre un repos bien mérité je crois.
À demain !
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