Toute modification de données se fait d’abord sur les pages de la base de données qui sont en mémoire.
Toute page qui subit une modification mais qui n’a pas encore été copiée sur disque dur est alors qualifiée de « sale », ou « dirty » dans la littérature.
En effet, SQL Server, comme la plupart des SGBDR, travaille exclusivement en mémoire vive, pour la simple raison que son accès est au moins 1000 fois plus rapide qu’un accès aux disques durs, si performants qu’ils soient.
Mais alors comment sont persistées ces changements sur les disques durs qui supportent la base de données ?
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