Sony ne fabriquera plus de liseuses et ma PRS-T1 prend la poussière !

Le marché des liseuses (e-reader) ne semble plus vraiment faire recette, du moins pour Sony qui a décidé de jeter l’éponge (It’s Official – the Sony Reader is Kaputt). La société ne fabriquera plus de liseuse et les stocks du dernier modèle PRS-T3 ne seront pas renouvelés.

Je possède une liseuse Sony PRS-T1 depuis janvier 2012, la noire :
liseuse sony prs-t1

A l’époque, je cherchais un outil dédié à la lecture de documents moins encombrant que mon PC portable 15″. Je lis en effet beaucoup de livres et d’articles que ce soit dans le domaine informatique ou dans le domaine de la biomécanique. Les tablettes me semblaient surdimensionnées et chères.

La lecture sur la PRS-T1 est très confortable. Elle est légère (170g), de dimension idéale (6″) et surtout avec une autonomie bien plus importante que celle de n’importe quelle tablette. Pour transférer les documents sur la liseuse, j’ai utilisé le logiciel Calibre plutôt que le logiciel livré par Sony.

Mais j’ai depuis accès à une tablette (iPad 4) et je dois bien avouer que la liseuse ne me sert plus beaucoup. Mon principal soucis venait du fait que le rendu de certains PDF n’était pas très bon. Les caractères devenaient très petits et la transition entre les pages pouvait devenir assez problématique avec le zoom activé.

Une conséquence positive de cet achat est que je me suis intéressé à la génération de documents au format EPUB. De fil en aiguille, j’ai développé avec djibril, l’outil qui permet, depuis mars 2012, aux rédacteurs de Developpez.com de proposer leurs tutoriels en version EPUB et Kindle. J’ai passé bon nombre d’heures dans la norme EPUB 2.0, et dans le codage XML/XSLT. Une bonne expérience d’apprentissage d’un nouveau langage avec une application concrète et immédiate.

La calculatrice de Windows, quatre pour le prix d’une !

Je me suis octroyé une pause dans mes activités de développement habituelles (MATLAB et autres). Pour effectuer quelques opérations mathématiques élémentaires, j’ai donc utilisé la calculatrice de Windows.

Pas de quoi écrire un billet de blog me direz-vous. Je ne dois pourtant pas être le seul à n’avoir jamais fais attention au menu « Affichage » de la calculatrice.

Menu affichage calculatrice Windows

Il y a donc en fait quatre calculatrices, plus quelques outils. Pas besoin de présentation exhaustive, quelques captures d’écran suffiront.

Standard

Calculatrice standard Windows

Scientifique

Calculatrice scientifique Windows

Programmeur

Calculatrice programmeur Windows

Statistiques

Calculatrice statistiques Windows

Conversion d’unités

Outil de conversion de données Windows

Conclusion

Je ne suis pas certain d’utiliser plus souvent cette calculatrice dans l’avenir mais elle est néanmoins dorénavant réglée en mode scientifique.

Les termes « lhs » et « rhs » dans MATLAB

Les termes « lhs » et « rhs » apparaissent parfois dans la documentation et dans certains messages d’erreurs renvoyés par MATLAB :

Assignment has more non-singleton rhs dimensions than non-singleton subscripts.

Ce sont en fait deux acronymes :

  • lhs : left-hand side
  • rhs : right-hand side

Ils symbolisent donc respectivement le terme de gauche et le terme de droite d’une affectation.

Par exemple :

A = 2;

Dans l’affectation ci-dessus, « A » est le « lhs » donc le terme de gauche, et « 2 » est le « rhs », le terme de droite.