Ça y est le coup d’envoi de Devoxx est donné.
Après une longue hésitation sur la session avec laquelle je devais commencer ma semaine de conférences, j’ai opté pour 3 heures de JavaFx.
Sur les rangs, on trouvait aussi REST et Scrum. REST a été rapidement éliminé car c’était celui qui me tentait le moins. Le dilemme restait donc entre JavaFx et Scrum. En dernière minute (devant les portes des salles) j’ai tranché pour JavaFx.
C’est l’occasion d’avoir un aperçu rapide de la chose, sans passer des heures à courir les blogs et tutoriels.
Quelques trucs sont particulièrement bien pensés, comme le bind et les triggers.
J’aime bien aussi la déclaration de séquence qui économise la mémoire. La possibilité d’utiliser des StyleClass et des css laissent présager d’applications facilement skinnable par l’utilisateur.
L’outillage est déjà bien avancé, avec NetBeans qui propose la complétion, des Snippets de code et un preview live de l’interface qui se met à jour sans sauvegarde. Enfin les plugins pour Illustrator ou Photoshop permettent un travail très simple entre le développeur et le designer, moyennant de s’entendre sur le découpage et nommage des composants.
Reste à voir ce que donne JavaFx pour une vraie application. C’est bien pour faire rapidement des carrés qui bougent et rebondissent dans l’interface, mais qu’en est-il d’une vraie application? Et surtout de la maintenance d’une interface complexe?