Des tables de faits sans faits

Il y a des expressions décisionnelles qui me donnent des boutons, limite la varicelle.

Par exemple, le fait qu’il existe des tables de faits sans faits
C’est un peu comme si on avait des moules sans frites, une bière sans mousse, un avion sans ailes, un film de Tim Burton sans Johnny Deep ou une version de BO sans bug …
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La BI 2.0

La BI existe maintenant depuis une vingtaine d’années, et repose sur des modèles solides comme l’OLAP, les modèles en étoile / flocons, les cubes etc …

La BI 2.0 est un terme à la mode qui caractérise les nouveaux outils qui se détachent des anciens modèles de la BI traditionnelle.

Les principales différences sont :

  • une mise en oeuvre simplifiée, quelques jours ( voire heures ) suffisent pour monter une solution BI
  • la rapidité, notamment due à des nouvelles technos comme l’analyse « in-memory »
  • l’autonomie des utilisateurs – par rapport à la dsi
  • la démocratisation – la BI est utilisée par tous, et non plus destinée à certains cadres dirigeants
  • la souplesse – pouvoir combiner des données qui n’étaient pas reliées entre elles avant, de sources différentes ( fichiers excel, bases de données, sites web )
  • le temps réel – du fait de pouvoir se connecter à n’importe quelle source
  • le travail collaboratif – génération web 2.0

Evidemment de par sa version la BI 2.0 est orientée Web 2.0, et elle adopte les technos du moment ( Cloud Computing, Saas, Paas, mobile etc )

Comme il suffit d’adopter une des caractéristiques citées ci-dessus, beaucoup d’applications sont estampillées « BI 2.0″, notamment les versions « OnDemand » des applications traditionnelles.

Quelques exemples concrets d’applis BI 2.0 :

  • Qlikview
  • Bime

Les problématiques que peut apporter la BI 2.0 :

  • des données publiées non certifiées
  • des process inexistants ( par exemple pour la maintenance … )
  • des limites aux traitements de la donnée